le Conseil des ministres a approuvé l’accord de vente et d’achat (SPA) pour les prélèvements de GNL de Eni corail FLNG la semaine dernière. Il a également donné Eni le droit d’entamer des négociations avec les soumissionnaires de plomb pour les contrats EPC clés du projet, Interfax gaz naturel quotidien a appris.

à sa 20e session ordinaire le 14 juin, le Conseil du Mozambique a approuvé « l’attribution de contrats pour la fourniture de Services de projet corail Sud FLNG dans la zone 4 du bassin Rovuma et analyse de l’accord pour l’achat et la vente du projet GNL FLNG corail vers le sud ».

, mais bien que le gouvernement a homologué le SPA avec BP pour la mtpa complet 3,4 de prélèvements de corail, l’accord n’a pas encore été signé par les autres partenaires de la zone 4.

que les quatre actionnaires – opérateur de projet Eni, China National Petroleum Corp., Kogas et Galp Energia – tout d’abord besoin d’obtenir le contrat autorisé par leurs conseils respectifs. Ce processus se poursuit, une source proche de l’affaire a déclaré à Interfax gaz naturel quotidien.

que lng sera vendue à BP sous contrat franco-bord, huile-liée avec une pente d’environ 11,5 % – bien que certaines sources ont suggéré le nombre est légèrement inférieure.

il est également un élément d’exposition du marché au comptant dans le contrat, qui a soulevé des préoccupations parmi les financeurs potentiels.
Eni pour démarrer le soumissionnaire pourparlers

contrairement à la déclaration du 14 juin, le Conseil des ministres n’a pas approuvé l’attribution de contrats pour le projet FLNG, mais plutôt qu’elle procurait à Eni – l’opérateur Offshore zone 4 – le droit d’entamer les négociations finales avec les soumissionnaires de plomb pour les quatre offres clés du projet, la source a dit à Interfax gaz naturel quotidien.

Eni amorcera des discussions de contrat EPC avec un consortium JGC Corp. Technip, japonais français et Samsung Heavy Industries sud-coréen pour l’installation FLNG. Il négociera avec Aker Solutions pour l’équipement de soutien logistique, avec GE pour les équipements sous-marins et Saipem filiale d’Eni pour le forage.

les partenaires espèrent baisser les prix de soumission actuelle pour réduire les dépenses en immobilisations globales pour le projet de $ 7 milliards estimés, qui ne peut être économique si les prix du pétrole restent à environ 50 $ par baril.

compagnie pétrolière d’Etat mozambicain ENH pousse maintenant à finaliser le financement pour sa participation de 10 % dans le projet avant le 30 juin – bien que des sources indiquent que cette chronologie est optimiste.

tandis que le principe a été convenu que les quatre autres partenaires portera la compagnie pétrolière d’État pour les premières années du projet – avec le prêt remboursé de la part de ENH des bénéfices futurs provenant de la vente de LNG – les conditions définitives sont encore en cours de négociation parce qu’ils auront un grand impact sur l’économie finale de Coral.

FID en septembre

Qu'eni pousse à un FID sur Coral en septembre cette année. Cependant, alors que c’est possible tous les documents nécessaires et les autorisations pourraient être en place avant cette échéance, si le prend de compagnie qu'un FID dépendra de savoir si elle peut raffermir économie du projet.

Eni est toujours à la recherche de ferme une partie de sa participation de 50 % dans la zone 4 et Interfax gaz naturel quotidien comprend que ce qui est une condition sine qua non pour qu’il puisse fermer le financement.

l’huile italienne majeur avait été en négociations avancées avec ExxonMobil, en mars à acheter dans le bloc, avec un accord devrait être annoncé à la fin du mois d’avril.

Toutefois, les négociations semblent avoir ralenti à la suite de révélations d’un supplémentaire $ 1,2 milliards en secret, garantie par l’état des emprunts qui a quitté le Mozambique sur le bord de la faillite.

malgré les assurances de Omar Mitha, la tête de l’ENH, que la crise de la dette n’affectera pas le financement des plans de LNG du Mozambique, progrès concernant 12 Mt/an de Anadarko semblent également sont au point mort.

Qu'anadarko essaie maintenant de l’utiliser à son avantage, une source de l’industrie a déclaré à Interfax gaz naturel quotidien. La stratégie de Mitch Ingram, nouveau directeur de la société du GNL, consiste à avancer le projet lentement mais arriver, la source a ajouté.

Anadarko a nommé un nouveau directeur de pays de diriger l’élaboration de son usine de GNL sur terre 12 Mt/an. John Bretz, vice-président de la société de commercialisation au Texas, succède à John Peffer, qui dirige les opérations de l’indépendante basée aux États-Unis au Mozambique depuis 2007. Prost a maintenant pris sa retraite de la compagnie.

Ingram – l’ancien directeur général du projet de GNL de Curtis Queensland de BG Group en Australie – est allé sur une fête embauche pour renforcer les pouvoirs de LNG de Anadarko. La société apporte plusieurs anciens membres de BG LNG à bord qui quittent l’entreprise suite à sa fusion avec Shell.